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PIQÛRES À LA FÊTE DE LA MUSIQUE : UNE FORME DE TERRORISME QUI RESTREINT LA LIBERTÉ DES JEUNES FEMMES

France, 21 juin 2025 – Lors de la Fête de la Musique, un événement festif populaire, près de 145 personnes, majoritairement des jeunes filles, auraient été piquées à la seringue dans plusieurs villes françaises, notamment Paris, Metz, La Rochelle, Angoulême… Cette vague d’agressions inquiète tant par sa dimension collective que par son caractère ciblé lefigaro.fr+9people.com+9francebleu.fr+9.

Une arme de terreur silencieuse

Plusieurs témoins rapportent avoir ressenti une piqûre sans s’en rendre compte, souvent dans la foule, avec parfois des effets de malaise, vertige, fatigue. Les contenus des seringues restent pour l’instant inconnus : des analyses toxicologiques sont en cours pour rechercher des substances type GHB ou similaires thesun.co.uk. Même si des seringues vides pouvaient être utilisées, l’effet de peur persiste : toucher sans effusion de sang, sensation immédiate de violation.

Ces actes rappellent les attaques de gangs organisés, mais avec une subtilité malsaine : pas de violence visible, seulement la menace invisible d’une injection. Chez certaines victimes, la simple pensée de se faire piquer suffit à limiter leur désir de sortir ou de participer à des événements publics.

Une atteinte à la liberté des jeunes femmes

Les cibles principales restent les jeunes femmes, souvent mineures. À Metz, 17 cas ont été recensés, avec des hospitalisations provisoires . À La Rochelle, dix victimes ont été examinées et une suspecte arrêtée francebleu.fr+7people.com+7reddit.com+7. Des témoignages émergent : “On ne sent rien, on ne sait rien jusqu’après”, confient certaines victimes, marquant la peur d’un viol à l’insu.

Cet état de peur modifie profondément leur comportement :

  • Évitement des lieux festifs ou soirées en plein air.

  • Méfiance vis-à-vis des foules et des inconnus.

  • Pression accrue sur les familles, qui restreignent les sorties, notamment pendant l’été.

Ces agressions créent un sentiment collectif de repli forcé, érodant un des rares espaces de liberté sociale offerte aux jeunes femmes.

Une stratégie d’intimidation maîtrisée ?

Le phénomène semble être relayé avant les événements sur les réseaux sociaux, avec des publications encourageant ces “piqûres ciblées” reddit.com+7reddit.com+7reddit.com+7reddit.comfrancebleu.fr+1francebleu.fr+1. Cela indique une coordination, ou au moins une inspiration collective, accentuant l’idée d’un processus terroriste à bas bruit :

  • Intention malveillante, répétition d’actes ciblés,

  • Violence symbolique, non létale, mais psychologiquement impactante,

  • But : limiter l’espace public des victimes.

Ce type d’attaque pourrait s’apparenter à une forme d’attaque non conventionnelle, où la peur est l’arme, et la seringue le vecteur.

Réactions institutionnelles et sociales

Les autorités ont procédé à 12 interpellations, sans confirmation de substances injectées reddit.com+10people.com+10theguardian.com+10. L’enquête cherche à déterminer si ces seringues étaient utilisées pour intimider ou réellement droguer les victimes.

Les pouvoirs publics envisagent :

  • Campagnes de sensibilisation, affichages dans les lieux festifs,

  • Renforcement des dispositifs de sécurité : Croix-Rouge, police, agents,

  • Tests gratuits pour détecter possibles produits dans le corps.

Des associations féministes ont appelé à une mobilisation citoyenne, demandant une prise en charge immédiate et un renforcement de la réponse judiciaire.


Conclusion

Les attaques par piqûre à la Fête de la Musique présentent un visage nouveau du danger : un terrorisme du quotidien, ciblant directement la liberté de mouvement des jeunes femmes. Au-delà des doutes sur la présence de substances nocives, c’est la menace invisible, la peur sourde et l’atteinte subtile à la sécurité personnelle qui transformeraient ce phénomène en un acte de terreur discret mais puissant.

🕵️‍♀️ La question se pose déjà : comment la société peut-elle répondre à cette menace masquée, protéger ses jeunes sans tomber dans la paranoïa, et conforter une liberté publique déjà mise à l’épreuve ?

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